Des balades, des voyages, ici ou là , au jour le jour avec pour seule envie de s'émerveiller encore et encore
Il fait froid, ce matin le thermomètre est descendu bien en dessous de zéro. Alors, quoi de mieux que de se rappeler les bons moments des vacances au soleil.
C'était un mois de mai. nous avions choisi de partir en Cappadoce.
Quatre heures d'un vol agréable et nous arrivons à l'aéroport d'Antalya. Nous sommes très surpris par l'aéroport, vaste, moderne, bien équipé. Encore 80 km de route et nous voilà arrivés à notre première étape. Il fait nuit, la surprise sera pour demain.
Et la surprise au réveil est agréable. Il fait très beau, la mer est bleue.
Nous sommes ici sur la côte méditerranéene de la Turquie, dans la province d'Antalya.
Le climat méditerranéen est propice à une végétation opulente. Il fait déjà 20° ce matin.
La piscine est vide, elle ne le restera pas longtemps. Dès le petit déjeuner, elle sera le centre des activités des occupants de l'hôtel.
Déjà quelques clients profitent des premiers rayons de soleil pour parfaire leur bronzage. Ils viennent en voisins de Georgie, d'Ukraine ou de Russie ou encore des pays nordiques.
Partout sur cette côte, on parle turc bien entendu puis russe, allemand mais très peu anglais et jamais français bien sûr (même dans les hôtels). Une bonne occasion pour faire appel à mes notions d'allemand!
Le français a longtemps été la langue des familles aisées de Turquie et c'était la première langue enseignée à l'école. C'était aussi la langue "politique" et de nombreux journaux étaient publiés en français. Depuis la fin de la guerre, les hommes politiques ont, peu à peu , pris l'habitude de parler en turc pour être plus proches de la population. Le français n'est plus qu'au 9 ème rang des langues enseignées en Turquie. Même l'italien est plus parlé ici que le français!
Comme tous les hôtels de la côte, le Holiday Garden a été construit pour accueillir le plus grand nombre de clients. ce qui leur donne souvent... un air carcéral mais les chambres sont, dans cet hôtel, très confortables et bénéficient toutes d'une vue sur la mer.
Il est temps de quitter cette belle vue pour découvrir la région. Direction Alanya...
Une navette passe devant l'hôtel toutes les dix minutes, juste le temps de photographier l'hôtel voisin et... en route pour la découverte.
Lorsqu’il était enfant, Nasreddine dut passer un examen pour entrer à l’école. Les élèves défilaient, les uns après les autres, devant deux maîtres très sévères. Arrive le tour de Nasreddine. L’un des deux maîtres lui montre un dessin qui représente les traces de pas d’un oiseau dans le sable.
Peux-tu nous dire le nom de cet oiseau ?
C’est un moineau.
Non, mon garçon ! c’est une hirondelle. Et ça ?
C’est un aigle.
Non ! c’est un faucon. Et ça ?
Une gazelle.
Non ! c’est un cabri. Nous sommes désolés de t’annoncer que tu es refusé. Mais, à propos, quel est ton nom ?
Nasreddine se déchausse, montre la plante de ses pieds et dit : Puisque vous êtes si forts, regardez mes pieds et devinez vous-mêmes !
Puis il part en courant… et ne revient jamais à l’école.
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